(Là encore, c’est un brouillon, mais j’ai décidé (pour l’instant) de rédiger en ligne, ici …)
Un soir de canicule, lorsque la ville se transformait en fournaise, faisant danser les flammes sur les rues embrasées d’une chaleur étouffante, O., homme mûr à la bienveillance marquée et à l’âme ardente, émergea de l’obscurité. Toute quête d’un amour véritable semblait l’avoir quitté, laissant place à la résignation face à la solitude de son cœur tourmenté. C’est ce soir-là, au détour d’une rencontre en apparence fortuite, que le destin, dans sa magie énigmatique, le guida vers N., cette femme insaisissable et sans âge, qui semblait émerger d’un monde parallèle.
Leurs destins s’entremêlèrent lors d’une de ces soirées chargées d’électricité, où les énergies tourbillonnantes de la nature se mêlent à la canicule étouffante. O. et N., comme attirés par une force mystérieuse et magnétique, se trouvèrent irrésistiblement liés l’un à l’autre. Ignorant encore que leurs âmes se connaissaient depuis des siècles, ils étaient destinés à se rencontrer en ces temps troublés.
Au cœur de cette fournaise ardente, O. et N. partagèrent des instants fugaces, dévoilant leurs réflexions sur une société fracturée, un amour passionné et la quête de liberté. Les gestes de N. agissaient comme des sortilèges, ouvrant les portes d’une conscience endormie chez O.
La magie douce de leur rencontre créa un mélange enivrant de quietude et de révolte, une danse envoûtante qui reflétait la dualité troublante de leurs êtres.